La tarabiscoture du titre (oui, tarabiscoture… à ne pas
confondre avec la tarabiscotation voire même avec la tarabiscotade), j’écrivais
donc… la tarabiscoture du titre qui s’inscrit dans la droite lignée de la
quadrature du cercle mais en tarabiscoté, m’est venue comme ça. Dans un éclair
de luciderie (comme lucide mais avec de la connerie).
Je n’avais rien à dire, juste envie de tricoter des mots, de
les enfiler comme des perles pour voir où ça me menait.
Nulle part à vrai dire.
Réminiscence de l’actualité liée au loup, le coup de l’humain
qui ne supporte rien, plus rien, qui a peur, qui tremble, qui veut payer l’essence
moins cher alors que la question n’est pas le prix de l’essence mais la mise en
place lucide d’autres sources d’énergie avec d’autres supports, d’autres modes
de vie, moins de gaspillage, plus de réaction… histoire de cohérence des idées,
de l’histoire en marche, en stand by et au ralenti. Un truc lié à une confusion
ambiante où le dupeur et le dupé ne savent même plus vraiment quel est leur rôle.
Un de ces moments d’extrême lucidité ou d’étourdissante bêtise…
mais en ultra. Jusqu’auboutisme de l’instant.
Fichtre, quelle pagaille dans ma tête.
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