Mon cher Gomez, à trop vivre loin du monde on reçoit les changements de la société par chocs successifs et douloureux. Gomez, tu m'as envoyé voilà quelques jours un délicieux présent dans lequel tu avais glissé des pastilles Vichy que j'aimais tant quand nous étions jeunes. Ils (la grande conspiration consistant à changer tous mes bon becs fétiches) ont changé la pastille Vichy, elle n'a plus rien de poudreux, non non, elle est glacée, surface lisse, brillante... même le papier n'est plus le même. Oh Gomez, comme je déteste ce monde qui ne respecte même pas la pastille Vichy de notre enfance.
Malgré ma haine, je suis sereine.
bon 31 octobre...
1 commentaire:
tout fout l'camp
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