Nous transformons notre société à coup d'hystéries collectives, de peurs irraisonnées de l'autre et de certitude quant à la justesse des choix que nous adoptons sans grande contradiction, simples concours de circonstances historiques. Rien de bien glorieux en fait. Ces dernières semaines ou s'entremêlent tsunami, guerres justes et combats injustes (laissé à l'appréciation de ceux qui s'y retrouvent, grands décideurs des causes justes et injustes, déités puissantes armées jusqu'aux dents...), printemps sanglants, sècheresses inquiétantes, politiques sexués, bactéries mutantes, sondages en trompe l'oeil et j'en passe, où s'entremêlent terribles souffrances humaines, faits divers pitoyables et grandes peurs épidémiques resservies chaque année sous des noms différents, ces dernières semaines reflètent cette grande farandole irrespectueuse qu'est devenue notre vie.
Faut que j'arrête de manger le soir, ça me fout des idées noires.
Tony has forgotten the sex thing again (from Comically Vintage)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire