vendredi 28 décembre 2012

9 kg d'amour



C'est un peu comme une drogue l'amour. Il y a de la dépendance avec parfois de la douleur, quand on est en manque.
Ça c'était avant (oui, comme la réclame).
C'était avant que je connaisse Gaston. Un concentré d'amour, de douceur, de chaleur et de poils. Il y a d'autres trucs, des trucs qui ont rapport avec une bonne psychologie animale, qui ont rapport avec le fait que le chartreux tient à la fois du chat et du compagnon présent et indéfectible, qui ont rapport avec l'alchimie des êtres vivants.
Gaston c'est comme un savant cocktail (massif) d'antidépresseurs, d'anxiolytiques, et de gros éclats de rire.
C'était juste comme ça.

jeudi 20 décembre 2012

"Loca'couille" (copyrights Martine S.)


Si l’on considère qu’un homme adulte a plus d’expérience(s) qu’un enfant de 3 ans, ce qui en soi n’a rien de perspicace, pourquoi l’homme adulte ne prend pas ses responsabilités quand il est question d’avancer dans sa vie, dans son couple, dans et j’en passe ?
Cette question n’a rien de nouveau. Oui, je sais.  
Je parle là très clairement d’un homme de sexe masculin et non de l’Homme générique.
Parce que le concept commercial de « Loca’couilles », inventé par une des mes copines fatiguée du comportement masculin, a vraiment de beaux jours devant lui. Oui, Loca’couille, location de couilles pour hommes démunis, de la couille morale, de la couille pleine de matière grise (et légèrement rosée). Vous voyez ce que je veux dire.
Je suis dans une colère noire, car une de mes prunelles se voit séparée de son compagnon, un peu lâche, un peu inconscient et très égoïste. Bref,  ma jolie prunelle est bien triste devant ce renoncement. Ma jolie prunelle a des insomnies et aussi de grosses larmes pas très bruyantes.
Personnellement, je n’ai rien à dire. Pourtant, ça me démange.
Loca’couille un jour, Loca’couille toujours. Essayez, pas sur que vous supportiez !




copyrights? 

Claude Ponti

Je ne sais pas vous, mais j'aime Claude Ponti.
Entendons-nous, j'aime ce que fait Claude Ponti, j'aime cette poésie chatoyante qui constitue son univers (on remarquera que les mots chatoyants et irisés reviennent régulièrement).
J'aime ce fabuleux album, "Georges Lebanc", reçu à la mi-novembre et qui m'accompagne. Certes, le format est grand, mais c'est un talisman et on ne peut se séparer d'un talisman. Ca ne rentre pas dans ma sacoche d'écolière vieillissante, ça ne rentre pas dans mes poches démesurées, ça rentre dans ma tête et ça me fait un sourire sur les lèvres et l'oeil farceur.
J'aime aussi Pétronille et ses 120 petits, Okilele, le Catalogue des parents, et aussi l'arbre sans fin (oui oui Vaness), il y en a plein d'autres.
Bref, si vous ne savez pas quoi lire et regarder durant les soirées mornes, il y a un bon moyen de synthétiser la vitamine D...



mercredi 12 décembre 2012

Soutenez la Contrabanda

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Vous pouvez même voter plusieurs fois sur des supports différents (ordinateurs, téléphones, i pad etc...) -faites passez! merci



mardi 11 décembre 2012

?

Un malentendu repose sur une part de vérité.
Ca fait réfléchir.

Chéri, je n'aime pas ta manière de danser, ça me file un lumbago!

dimanche 9 décembre 2012

Interruption momentanée des programmes

Parce que... rien d'autre

Ménopause


Parfois, j'ai des bouffées d'amour. Ça me prend là, vers l'estomac.
Ça remonte vers la gorge, ça se répend sur mes lèvres, ça fait des bulles dans ma tête. Les bulles explosent en grands traînées irisées qui me rendent sautillantes. La bouffée d'amour n'est pas une simple étreinte qui se poursuit jusqu'à l'explosion. Non. C'est aussi une conjugaison de couleurs qui se confondent et se mélangent pour m'enduire d"une teinte translucide et un peu rugueuse. Ça me donne l'oeil pétillant, la joue un rien rosée. Ça me donne du courage, encore plus qu'à l'accoutumé. Ça me donne des secondes supplémentaires, distillées dans chaque minute, ça renforce mes rêves et ...cerise sur le gâteau, ça me fait poser des baisers à la commissure des lèvres, juste là où c'est doux.
Ça me donne aussi de jolies pensées à partager avec ceux que j'aime.

 Daytona Beach, 1947 (crédits?)