Une petite bluette de Gainsbourg, « la recette de l’amour fou », 1958. Pas de quoi s’exciter. Pourtant laissez-moi vous dire que cette musique et ces paroles m’accompagnent. Une bonne vieille recette des cœurs et des corps à conquérir et à prendre, avec gourmandise.
Et on jette l’os quand on l’a rongé. Image douteuse il est
vrai.
Ces dernières semaines, la vie est faite de montagnes russes
alternant motivation et désespoir complet. Moral en dents de scie. J’aime pas,
mais alors j’aime pas. Toute molle, toute défaite, toute berk.