Quand j’ai entendu ces paroles, je ne suis pas restée
indifférente. J’ai même arrêté ce que j’étais en train de faire. Ca me
parlait, drôlement même. Pas par expérience personnelle. Mais par expérience
commune.
La loose de l’humain moyen, ou supérieur, la loose économique
ou financière, de l’humain qui se croit au-dessus de la norme et qui retrouve
soudain sa place dans l’univers. Toute petite. Et sans pitié.
Après il y a eu les Beatles
while my
guitar gently weeps…
Mes pensées ont continué à tourner autour du même sujet.
C’est ça, sans pitié. Pas politiquement correct. Et j’étais
ravie. Même si c’était bien moche.
A bas les niaiseries, à bas la faute à qui. Mais la
photographie voyons.
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