Les mystères de l'architecture humaine.
Aujourd’hui : l’exemple de l’homme
qui lutte mais que la lutte ne rend pas beau, jusqu’à l’insuportabilité. Quand
l’homme ne s'aime pas il est rarement capable d'aimer les autres (psychologie
de comptoir). Il brigue le pouvoir, toute forme de pouvoir, pour oublier ses
défaites qu’il enfile comme des perles. Elles semblent nombreuses. Il est docte
et bête, de la bêtise à fort pouvoir de nuisance. Il sait mentir, plein de
conviction. Il sait surtout se mentir à lui-même.
L’homme, au milieu de cette tourmente,
peut lutter contre ses démons :Dieu et le Sexe, oui, avec une majuscule. Dans
ce cas, le Sexe est quasi-divin…
Ce qui m'épate dans l’homme
qui cherche l'illumination, c'est le rejet de sa condition humaine. Et la
condition humaine, c'est la condition animale, primates que nous sommes,
bouffis d’œstrogène et de testostérone. A noter : ne pas oublier le trou dont
on vient (poésie gratuite me permettant de briller les nuits de pleine lune).
L’homme qui lutte contre ses démons est docte
et sans concession. Du coup, isolé dans son combat, bouffi de certitudes, il se
fourvoie convaincu qu'il est de détenir LA réponse. Ça le rend insupportable et
méchant. Je n'aime pas les gens méchants, bouffis (sic) d'orgueil et tellement
coincés du cul. Faudrait juste un jour que l’homme ouvre ses soupapes de
sécurité. Ça pourrait être dangereux.
Une explosion de testostérone en milieu clos, ça fait quoi ? J’ai
bien une vague idée, assez moche d’ailleurs.
Et je voulais en venir où ?
A la saveur aigre-douce, comme celle de la mangue verte laissée
dans du vinaigre quelques jours. J’aime bien.
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