mercredi 8 octobre 2014

L'ère des mauvaises nouvelles

La nouvelle dramatique semble être devenue le credo des média, dramatique et mauvaise, cauchemardesque même, quitte à en rajouter un peu!
Faut juste que le péquin lambda fasse l'éponge, manque furieusement de discernement. C'est facile de manquer de discernement, à force d'avoir l'impression d'avoir du pré-mâché, pas besoin de recul, folle impression de maîtrise et de sur-information. Juste une impression.
Pas de légèreté, pas de second souffle, juste du gris, du noir, du vert-caca d'oie (j'aime pas le vert caca d'oie), plus aucune insouciance. Quel que soit le sujet, de l'intégrisme religieux aux décisions politiques. Tout est tellement sombre. Un peu comme un bouquin de P. K. Dick, avec la même schizophrénie et la même paranoïa ambiante. Pas de porte de sortie. Des raccourcis qui mériteraient la grève illimitée de la consultation des réseaux d'information.
Sauf que pour vous dire le fond de ma pensée, j'ai le sentiment que nous vivons dans un décor monté de toute pièce, faut juste trouver le moyen de regagner de la conscience, un truc comme la moral et le respect des autres. Ça passe aussi par la qualité que l'on décide de mettre en place pour informer autrui, sans céder aux sirènes du pouvoir ou de l'idée du pouvoir.


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