J’ai toujours été étonnée par la capacité de certaines
personnes à véhiculer dans leur sillage une onde glaciale qui refroidirait le
plus chaud des volcans. L’agressivité latente, le mal être lové au fond de soi,
l’insatisfaction permanente, l’épanouissement furtif dans la crispation des
autres sont des ferments moteur de cet âge glaciaire.
L’onde glaciale peut s’accompagner d’un regard sombre,
coupant, où il n’y a pas de place pour le jeu, l’humour et le rond. Même les
rires forcés et nerveux ressemblent à de la limaille de fer.
« La
Zizanie », oui oui, Astérix. In vivo.
Je n’aime pas les personnes toxiques chez qui méchanceté et manque
d’humilité font de la rime pauvre.
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