lundi 31 août 2015

La fin des vacances

J'aime le froid. Autant dire que cet été, c'était la loose totale. Dormir dévêtue et sans couette, c'est la garantie de nuits difficiles, sans repos. Alors quand dans la semaine, le thermomètre a affiché quelques températures plus basses j'ai couru pour récupérer un duvet et me glisser dessous quitte à faire une over-dose de sommeil... car la couette c'est le début de l'hibernation, le synonyme d'un sommeil gourmand, réparateur, le synonyme aussi de l'oisiveté et du bonheur.
J'ai un peu fait la tête cette fin de semaine. J'ai rejeté d'un coup de pied énervé ce trop plein de chaleur. Un rien désespérée. Je pars dans le nord de l'Europe d'ici quelques jours, histoire de récupérer mon moral effondré.
La question qui revient autour de moi reste la même :
comment as-tu pu pendant si longtemps travailler entre les tropiques et l'équateur sans passer plus d'une semaine par an dans le froid (et sans investir dans un grand congélateur faute d'électricité)? Je n'ai pas de réponse sauf peut-être celle de dire que j'ai découvert la douceur de la vie à 50 ans en rejoignant des latitudes plus clémentes...


Fis des pisses chauds qui aiment la chaleur!

mardi 25 août 2015

Les arbres continuent à pleuvoir quand le ciel s'est arrêté

Principes météorologiques...
Règle n° 0 partout dans l'univers du monde de la terre.
C'est toujours la même constatation sur les trottoirs de Frankfurt ou ceux de Tokyo, pourvu qu'il y ait des arbres. Je ne parle pas de la forêt où sous la canopée, il pleut un bout de temps après le début de l'averse, mais vraiment longtemps. Il pleut très longtemps après la fin la pluie et encore plus quand une légère brise agite les arbres.
Il pleut dans le ciel blanc, les prémisses sont dans le ciel gris sombre mais la pluie n'y est pas encore. La pluie a besoin de blancheur sinon elle serait sale, c'est évident.

Les droits appartiennent à celui qui a pris cette photo, 
Pas à moi.